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    Je vous dédie ce livre, cher Maître .... écrivait Gérard de Nerval à Alexandre Dumas dans la préface des Filles du Feu, pour lui prouver, il est vrai, qu'il avait toute sa raison.  

    Pour moi, c'est sans arrière-pensée que je dédie aux auteurs que j'aime, Gérard de Nerval et Nikos Kazantzaki, en les remerciant de m'avoir charmé de leurs mots, les lignes qu'ils m'ont inspirées.

    J'y ai ajouté la traduction du latin d'un texte de théologie mariale qui m'a été confiée il y a quelques années par les moniales de l'Annonciade de Thiais, la Lampe  -lucerna en latin, de la Vierge Marie.